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Tag: Nature


Mon Ascension du Mont Blanc

Cet été, je suis monté sur le toît de l'Europe à 4810 mètres d'altitude. Comme c'est une expérience or du commun, je la partage avec vous du début à la fin.

La décision

Il y a plus de 10 ans, alors agé de 14 ans, j'avais déjà réalisé des courses de haute montagne dans les Alpes avec mon père. La dernière en date, et aussi la plus haute était le Mont-Blanc du Tacul : le troisième sommet le plus haut de la chaîne des Alpes françaises, tout prês du Mont Blanc. Nous l'avions réalisé en une journée en partant de l'aiguille du midi. C'était en 2001. Depuis, je n'ai plus eu l'occasion de chausser les crampons et empoigner un piolet pour différentes raisons. Il faut dire aussi que j'ai quelques mauvais souvenirs avec le vent et les quelques galères sur le moment lors de la montée. Mais la mémoire de la satisfaction d'être en haut, d'avoir une vue imprenable sur la vallée et avoir énormément de gaz autour de soi me manquait.
En avril 2008, alors que j'étais à Los Angeles, j'ai demandé à mon père s'il voulait monter le Mont Blanc avec moi. Lui l'a déjà fait il en 2003. Je ne sais pas trop ce qui m'a poussé à vouloir faire ça, mais c'est une addition de beaucoup de choses : l'envie de retrouver les grands espaces des Alpes, l'envie de me prouver que j'en suis encore capable, etc...
Mon père en a été enchanté puisque c'est l'année de ses 50 ans. La décision était donc prise de s'attaquer au Mont-Blanc durant l'été 2009.

La préparation

La montagne ne pardonne pas. L'alpinisme est dangeureux est les gestes doivent être précis et attentionnés. Il faut donc une bonne condition physique. Pour cela, je me suis remis plus sérieusement au sport tout le mois précédant notre départ : course à pied, tennis, marche avec sac à dos lesté, esacalade. Quasiment tous les 2 jours je partais transpirer un peu dans l'été chaud.
Puis je suis parti avec mes parents aux Contamines-Montjoie. Une semaine avant la date prévue de l'ascension pour se mettre du denivelé dans les mollets. Quelques photos de ces randonnées :

Mont Joly Mont Blanc depuis le Mont Joly Mont Blanc depuis le Mont Joly Mont Blanc depuis le Col de la Fen?tre Mont Blanc depuis le Col de la Fen?tre Depuis les chalets du Truc


Mais pour le Mont Blanc, une grande partie se fait sur neige. Je devais donc marcher avec des crampons et un piolet avant. Pour ça, on est parti un soir pour dormir au refuge de Tré la Tête chargé comme des mulets. Nous avons dû monter rapidement pour arriver à l'heure pour le repas, à 18h00 dans le chaud d'une fin d'après-midi d'été. Le lendemain, levé à 5h du matin pour déjeuner et partir doucement sur le glacier de tré la tête. Avant de réellement être sur la glace, nous avons marché pendant près de deux heures dans la moraine : très fatiguant à grimper et peut rapidement devenir très dangeureux.
Une fois réellement sur le glacier, on chausse les crampons et on s'encorde pour près de 4 heures sur le glace, à sauter au dessus des crevasses, s'entraîner à cramponer correctement sur la glace, planter le piolet, etc... Je me suis éclaté à ce petit jeu, sans voir les heures passées. L'exercice était intéressant, mais c'était de la glace. Le Mont Blanc, c'est de la neige. Nous avons fais quelques petits crochets pour marcher quelques minutes sur des endroits enneigés à cause du soleil.

Durant cette excursion, j'ai pu remarqué que la neige à énormément fondu. J'avais en effet grimper le sommet de la Bérangère en 2000 qui nécessitait des crampons très bas. Aujourd'hui, il est possible de faire ce sommet sans toucher la neige ! C'est là qu'on se rend compte que le changement climatique est bien réel, présent, et pas si loin que l'on veut le penser parfois...
Les photos de cet entraînement :

Vall?e depuis Tr? la T?te Vall?e depuis Tr? la T?te Vall?e depuis Tr? la T?te Glacier de Tr? la t?te Glacier de Tr? la t?te Glacier de Tr? la t?te Glacier de Tr? la t?te Glacier de Tr? la t?te Glacier de Tr? la t?te


Après cette excursion, nous avons encore effectué 2 autres randonnées : le col de la fenêtre et une autre petite, les chalets du Truc. Le tout pour ne pas perdre la condition physique et garder l'habitude du dénivelé dans les mollets.

L'ascension

Au début, il était prévu que nous partions le dimanche 2 août au matin pour réellement être au sommet le 3 août. Mais après une discussion avec le guide, nous avons décidé de repousser pour éviter de monter sous la pluie et les orages, ce qui peut être très dangereux ; je crois d'ailleurs que deux personnes sont mortes ce jour là à cause des orages...
Nous sommes donc réellement partis le 4 août, par le premier Tramway du Mont Blanc, au départ de Saint-Gervais à 7h55. Arrivé au nid d'aigle à 9h à 2372 mètres d'altitude, on commence réellement l'ascension. Il fait froid car nous sommes déjà sur le glacier. Le tramway était rempli et tout le monde part au même endroit, donc les chemins sont bien occupés. On essaie de passer devant les grandes cordées d'italiens qui sont ici car très embettant à doubler par la suite.
La première étape de l'ascension passe à côté du refuge de Tête Rousse à 3167 mètres d'altitude. Cette première partie n'est pas très difficile mais il y a un bon dénivelé de 1445 mètres. Nous l'avons avalé en 2h et quelques, ce qui est une très bonen moyenne.
Juste après Tête rousse, il y a le couloir de la mort à traverser. Derrière ce nom qui fait peur se cache en fait un passage à l'horizontal de près de 20 mètres de long très étroit où l'on doit s'encorder à un câble fixe. Ce passage doit être passé le plus rapidement possible tout en restant précis dans ses gestes car il est très dangeureux : en effet, de nombreux rochers tombent de la falaise en haut, et risque de nous blesser. Nous l'avons passer sans encombre pour ensuite entammer la grosse ascension pour atteindre le refuge du goûter à 3817 mètres d'altitude.
Cette partie est difficile aussi car elle est très raide ; on peut la comparer à du 4 en niveau d'escalade. Mais imaginer qu'il fait froid, que vous avez un sac à dos de plus de 10 kg dans le dos, et que l'altitude a son effet. On est bien sûr encordé. A 3500 mètres, je n'arrivais plus à respirer et j'ai été obliger de m'arrêter 2 minutes pour reprendre mon souffle. Le guide m'a donné un conseil que j'ai utilisé tout le reste de l'ascension : "Respire à fond". Il faut s'y forcer, et c'est vrai que ça passe mieux.
A 12h45 nous étions au refuge du goûter, prêt pour un bon casse-croûte.

En montant au Mont Blanc En montant au Mont Blanc En montant au Mont Blanc Glacier de T?te Rousse Glacier de T?te Rousse En montant au Mont Blanc


Au départ, nous deviens rester toute l'après-midi au refuge, à se reposer et s'acclimatter doucement pour ensuite partir le lendemain à 3h du matin à la frontale. Mais le guide nous a proposé une autre option : partir 45 minutes plus tard pour continuer l'ascension jusqu'en haut dès maintenant et revenir au refuge pour 18h30, passer la nuit tranquilement et redescendre le lendemain en douceur.

Comme je me sentais mieux, que mon père n'avait pas de problèmes, nous avons pris cette option. Ainsi, nous étions que très peu sur les pistes ce qui est un vrai plus : c'est une vrai autoroute quand tout le monde part en même temps le matin à la même heure.

Plus tôt que prévu, nous voilà donc dedans : dès le refuge du Goûter, on met les crampons et prenons le piolet à la main pour ne jamais les quitter. Il nous reste 1000 mètres de dénivelé à monter.

La course sur neige commence par une arrête quasiment horizontale assez agréable, mais sûrement difficile la nuit ! Puis la véritable ascension commence pour monter sur le dôme du goûter. Nous marchons bien et ne faisons pas beaucoup de pause. Zigzaguant sur le flanc de la montage, on profite du magnifique paysage avec seulement quelques nuages au loin.
Au dôme du goûter à 4200 mètres d'altitude, je croyais qu'on était monté très vite. Mais ensuite il faut redescendre près de 200 mètres dans un vallon pour ensuite remonter et attaquer les 2 bosses. C'est, comme son nom l'indique, 2 bossses qui sont sur des arrêtes, la première étant la plus raide. Un passage à côté du refuge Vallot qui n'est en fait là qu'en cas d'extrème urgence, ou une envie pressante avec ses toilettes sèches.

L'ascension des bosses a été difficile : le vent soufflait très fort. Personnelement, j'avais mal mis ma capuche et le vent ammenait des petits bouts de glace sur le visage qui me coupaient les lèvres et les joues. A la première pause, je me suis empressé de remettre mon écharpe et ma capuche pour ne plus être embetté. A la seconde bosse, j'avais plus chaud et de la buée sur mes lunettes, mais je n'étais plus embetté.
Dans cette période là, j'ai vraiment galéré. Parfois je m'arrêtais, mais le guide qui était devant continuait et me gueulait dessus pour continué, en me tirant avec la corde. On ne pouvait pas s'arrêter sur l'arrête, dans le vent si fort... J'ai eu beaucoup de mal dans la neige. J'appuyais sur un pied, il redescendait au même niveau que le premier. Je moulinais. Je n'avais pas la bonne technique. J'ai hurlé -le vent fait énormément de bruit !- au guide pour qu'il m'explique comment faire. Ce n'était pas non plus l'endroit pour une école de glace, mais ces rapides conseils m'ont permis de m'en sortir mieux.

Dans ces moments là, on se dit qu'on est con, inconscient de venir se mettre dans des situations pareilles. Mais on s'y est mis tout seul. Il y a un guide devant, mon père derrière. Alors on prend sur soi, on va chercher au fond des ressources qu'on ne pensait pas avoir.

Je me rappelle avoir demandé au guide si on était bientôt arrivé, car je voyais la montée se ralentir. Il m'a dit qu'il ne restait plus que quelques dizaines de mètres. Je ne le croyais pas vraiment, pensant qu'il disait ça pour me motiver. Puis il a commencé à planter son piolet et nous a dit : "Félicitations, vous avez réussi. Messieurs le Mont Blanc !"

J'ai fais un 360° en disant : "Magnifique !". Les yeux écarquillés comme un enfant qui découvre un jouet à Noël. Mais en mieux. En 1000 fois mieux. Summum du plaisir, nous étions seul. Seulement notre cordée sur l'arrête somminitale. Je profite. Je regarde partout. Je prends quelques photos. J'envoie un tweet par SMS : le premier depuis le sommet du Mont Blanc !

En haut du Mont Blanc En haut du Mont Blanc En haut du Mont Blanc En haut du Mont Blanc En haut du Mont Blanc Le guide en haut du Mont Blanc


Je n'ai pas enlevé longtemps mes gants, mais ça a suffit pour me geler le bout d'un doigt. J'ai gardé de drôle de sensations pendant près de 3 semaines, mais pas de mal.

La Descente

Mais il faut bien penser à redescendre. Le soleil était déjà rasant. Je demandais d'ailleurs souvent l'heure au guide. Il me répondait qu'il ne savait pas. En fait, le soleil était son indicateur. Il fallait être au refuge avant qu'il ne soit caché au loin derrière les autres montagnes...
Dès le début, mon père est parti rapidement devant. Mais il m'a fait peur. Vous voyez la démarche d'un zombie ? Et d'un alcoolique ? Et bien c'était un mélange des deux. Et croyez-moi, quand on est à 4800 mètres d'altitude, ça ne fait pas rire. Il a glissé plusieurs fois. C'est moi qui l'ai retenu en appuyant bien fort sur mes crampons. Il s'est fait enguelé par le guide pour qu'il se reprenne. Mais ça n'a pas changé grand chose. Il avait le mal des montagnes qui l'a pris d'un coup, dès le début de la descente.
Comme il était mal, je me concentrai sur lui, en essayant de le motiver pour qu'il se concentre au maximum. Je crois que c'est grâce à ça que je n'ai pas ressenti de douleur : il y avait déjà un malade, il n'en fallait pas deux. Dans ces moments là, quand on est une tout petite cordée de 3, au milieu de la montagne immense, avec le soleil qui descend au loin doucement mais sûrement, on ne fait pas le malin. Et même si on a un guide, on pense aux pires choses. J'ai même envisagé que mon père se fasse hélitroyer pour qu'on redescende tous les 2 avec le guide.
Bref, tant bien que mal, nous sommes redescendus plus lentement que prévu, avec des pauses pour permettre à mon père de se ressaisir.

En descendant du Mont Blanc Depuis le refuge du Go?ter Depuis le refuge du Go?ter Depuis le refuge du Go?ter Depuis le refuge du Go?ter


Une autre cordée était un peu en avance sur nous et ont demandés à attendre au refuge pour que nous mangions avec eux. Nous sommes arrivé un peu avant 19h. Mon père ne disait rien car très mal en point. Je l'ai motivé pour qu'il rentre rapidement et viennent manger. Il n'a pas pu avaler quoique ce soit. Moi j'ai mangé doucement et discuté avec l'autre cordée, à échanger nos sensations de notre ascension.

Le refuge était plein à craquer. Des gens ont dormis dans la salle à manger sur les tables, les bancs, sous les tables, par terre. c'est du grand n'importe quoi. Nous avions évidemment réserver, donc un lit nous attendait. Je suis rester éveillé jusqu'à 1h du matin à penser à cette journée et à veiller à ce que mon père soit bien, à aller lui chercher de l'eau, à manger, etc...

Bref, la nuit s'est bien passée. Le lendemain matin, réveil à 7h pour le petit déjeuner. tout le monde était parti et le refuge était bien vide. La descente n'est pas quelque chose de facile. On a toute la fatigue de la veille et il faut bien rester concentré, surtout dans le couloir de la mort. J'ai d'ailleurs glissé sur de la glace à cet endroit et je me suis explosé le genou dessus. Je me suis dépêché et je n'avais pas vu ce bout de glace. Mais le pire, c'est que 5 minutes plus tard, je suis retombé sur les genoux dans la moraine. J'ai terminé toute la descente avec cette douleur au genou droit, mais il fallait bien descendre. Durant la descente, on a croisé quelques chamois. Un notamment n'était qu'à quelques mètres de moi quand je me suis arrêté boire un petit coup, il a soufflé pour se faire remarqué et m'a surpris.

En descendant du Mont Blanc En descendant du Mont Blanc En descendant du Mont Blanc


Arrivé à 11h30 au nid d'aigle pour reprendre le tramway et redescendre à Saint-Gervais, la course était terminée. c'est là qu'on souffle, qu'on se rend compte des douleurs aux pieds, au genou, de la fatigue générale...

Pour finir

L'ascenscion du Mont Blanc, comme toute autre ascension d'ailleurs, est une expérience unique. Il faut s'entourer et se préparer pour une telle expérience. Et on a parfois des sueurs froides. Mais l'aventure en vaut la chandelle ! Je ne sais pas réellement comment décrire la sensation qu'on a là haut. Les photos sont belles, mais croyez-moi, ce n'est rien comparé à ce qu'on ressens au sommet, le fait de voir des montagnes à perte de vue, avoir énormament de "gaz" autour de soi n'a pas de prix.

Merci Papa pour ce Mont-Blanc...

Cyclorpiste, initiative bisontine pour l'environnement

Deux jeunes bisontins ont décidés de partir pédaler aux Amériques, en tandem.

Plus qu'une envie d'évasion, il s'agit en fait d'une initiative pour sensibiliser les gens au réchauffement climatique.

Nous partons en octobre 2009 traverser les Amériques en tandem d'Argentine au Canada. Le périple représente environ 17000 Km et aura pour but de passer par des lieux où les émissions de CO2 sont soit critiques, soit exemplaires. Nous sommes en effet en partenariat avec Action Carbone (association présidée par Yann Arthus-Bertrand). Notre association "Cyclorpiste" a mis en place un système de parrainage de nos Km où 1 Km est égal à 1 € dont 30 % est reversé à Action Carbone afin de réaliser des projets de compensation de CO2 et d'alternative carbone dans le monde entier.

On ne peut que les encourager et les soutenir. Moralement déjà, mais si vous voulez faire plus, vous pouvez leur faire un don, ou bien les aider à acquérir leur matériel manquant.

N'hésitez surtout pas à bloguer, linker, twitter, facebooker, et tout ce que vous voulez !

Ce genre d'initiative n'est utile que s'il on en parle et si l'on s'y intéresse.

On espère qu'il y aura un blog pour suivre leur périple quand ils seront là-bas !

Bon courage à eux deux en tout cas !

Reinvente the calendar

All of us has already figure out that: calculate dates through years is difficult. You have to worry about leap years, weeks of 7 days, months with different number of days, etc...

Starting from this observation, I started to search information about time notion, and more precisely in the measure that was done by humans.

In most of the worlds we're using the Gregorian calendar: established on 1582, it's using the SUN and the earth rotation around it to define the year and the day. Since this time the calendar included the 29th of February every 4 years to obtain a year with 365,25 days.

But the earth go round the Sun in 365,24219 days. Which means there is a tiny shift which is getting ride every millennium but not adding the 29th of February. And because day of the week are never at the same date from a year to another, it's becoming hard to know which day of the week was the March, End of 1954! Moreover this calendar is really marked by the Christian culture.

And we also have to edit new calendars every years, re-think the holidays, etc...

Here are the problems that we can evoke about our current calendar. Let's have a look about other calendars now.

The first and probably the most important to note here is the Maya calendar. This calendar cut the time in many different unities regarding the time length. One surprising thing is that it's ending on December 21st, 2012. There is plenty of different explanations for it that I can't speak about them here.

An other calendar that we could speak about here is the Republican calendar which was created during the French Revolution. In the same idea to separate references about monarchy like the foot, it has been etablished to be a time unit on base 10, with weeks of 10 days, months of 30 days, etc... It was used only for a few years after the French revolution and finaly went to the bin, probably because of the week length, too long....

Finally the Muslim calendar is based on the moon and its phases. That's why there is a shift with the Gregorian calendar.

OK, and what?

So one day I asked myself if it wouldn't be possible to create a new calendar that we could use and establish simply. The aim of this calendar and it's new time scale would be to propose fixed days throughout years without having to use an additional day every 4 years. This imply that the notion of day would be modified to operate. And so on the hours and the minutes.

As the second is the scientific time unit, this calendar will keep the relation with the current second. That will also simplify the computer change, because the time is stored in seconds, before being converted in a human readable date. The year will also be kept: it's determined by the time the earth use to go around the Sun. The weeks will still be with 7 days, to avoid bigger change in the work world.

Let's construct this calendar

nTime

For the units, I simply used the current name and prefixing the letter n.

We have 365 nDays to dispose. We can see that 365 = 52 * 7 + 1. So we can start that we'll have 52 nWeeks + 1 nDay.

52 = 4 * 13 : Let's place 13 nMonths of 4 nWeeks each one, which 28 nDays in 1 nMonth.

that way the calendar obtained is very strict and each nth nDay from the mth nMonth will be eaxctly the same xth day of the week.

Regarding units during the day, why don't cut the nDay in 10 nHours, and every nHour in 100 nMinutes? I didn't already make the conversion calculs, because I'll need to know the exact number of seconds in one year, year as it's astronomical term. Don't forget that 1 second = 1 nSecond.

We can notice that this change of scall for the hours and minutes will imply a tweak problem for the conversion from Gregorian dates to a date of this new calendar. In fact the minutes around midnight will sometimes be equal to the previous day, sometimes not. This will depend from Sun gap, so depends about the leap years... One more time once the conversion calcul will be done, the answers to these questions will be very clear and simple.

There is still one thing to do: define the relation with the current calendar and when it should be used. As the December 21st, 20012 seems to be an important date for many reasons, I propose to use this date as the first date of this new calendar. That's imply that the first nDay of the year will also be the winter's day, or more scientifically speaking the day of the winter solstice; date from when the days starts to become longer (in the north hemisphere).

I created a web page to show this calendar, with the dates relation.

This imply many nice thing for the season:

  • The spring will be the 7th nDay of the 4th nMonth, which will be equivalent to a Sunday.
  • The summer will be the 14th nDay of the 7th nMonth, still a Sunday.
  • the autumn will be the 21st nDay of the 10th nMonth, one more time a Sunday.

And if you look on the calendar, these dates are obliquely line up.

That's it about the theorical part of this calendar. You probably thought I'm totally crazy because I thought at least more than one second about this craziness, but why not?

After all most of the inventors was taken for fool at their time because they didn't think with the same paradigm than the others.

And you, what do you think about that?

Version française de ce billet

Réinventer le calendrier

Nous l'avons tous déjà remarqué : calculer des dates au fil des ans et difficile. Il faut jouer avec les années bisextiles, les semaines de 7 jours, les mois avec des nombres de jours différents, etc...

Partant de cette observation, j'ai commencé à me renseigné sur la notion de temps, et plus précisément de la mesure qui en a été fait par les hommes.

Dans la majeure partie du monde, nous utilisons le calendrier grégorien : mis en place en 1582, il se base sur le Soleil et la rotation de la Terre autour de celui-ci pour définir l'année et le jour. Dès cette époque, ce calendrier incluait le 29 février une année sur 4 pour obtenir une année de 365,25 jours.

Or, la Terre tourne autour du soleil en 365,24219 jours. Il y a donc un léger décalage, qui se rattrape aux années millésimes en n'ajoutant pas le 29 février. Et comme les jours de la semaine ne tombent jamais en même temps d'une année sur l'autre, cela devient compliqué pour savoir quel jour était le 2 mars 1954 ? De plus, ce calendrier est très marqué par la culture chrétienne.

Et puis on doit aussi éditer de nouveaux calendriers chaque année, repensé les jours fériés et ponts chaque année, etc...

Voilà pour ce qui est des problèmes que l'ont peu évoqué de notre calendrier actuel. Étudions brièvement les autres calendriers qui ont existé ou existent encore.

Le premier et sans doute le plus important à noter ici est le calendrier Maya. Ce calendrier découpe le temps qui passe en tout un tas d'unités selon la longueur du temps. Chose étonnante pour ce calendrier, il s'arrête le 21 décembre 2012. Différentes explications ont été envisagés pour cela, mais je n'entrerai pas dans les détails ici.

Un autre calendrier que l'on peut indiquer est le calendrier républicain qui a été crée pendant la révolution française. Dans la même idée de se séparer des références à la royauté comme le coude, le pied, etc..., il a été mis en place pour être une unité de temps à base 10, avec des semaines de 10 jours, des mois de 30 jours, etc... Il n'a été utilisé que quelques années après la révolution, puis passé aux oubliettes, sans doute à cause des semaines trop longues...

Enfin, le calendrier musulman est basé sur la Lune est ses phases. C'est pourquoi il y a un décalage avec le calendrier grégorien.

Oui, et alors ?

Alors un jour, je me suis demandé s'il ne serait pas possible de créer un nouveau calendrier que l'on pourrait utiliser et mettre en place simplement. Le but de calendrier et de cette nouvelle échelle de temps serait de proposer des jours fixes au fil des ans sans avoir à recourir à un jour supplémentaire. Ceci implique donc que la notion de jour devra être modifié pour fonctionner. Donc la notion d'heure et de minutes aussi.

Mais comme la seconde est l'unité scientifique de temps actuel, ce calendrier gardera la correspondance avec les secondes actuelles. Ce qui simplifiera d'ailleurs les changements informatiques, puisque le temps est exprimé en secondes, avant d'être converti dans une date lisible par l'être humain. L'année sera aussi conservé : elle est déterminé par le temps que met la Terre pour tourner autour du soleil. Les semaines devront toujours être de 7 jours pour ne pas changer encore plus les habitudes.

Passons à la construction de ce calendrier.

nTime

Pour les unités, j'ai simplement décider de prendre le nom actuelles et d'y préfixer la lettre n.

Nous avons 365 nJours à placer. On peut remarquer que 365 = 52 * 7 + 1. On peut donc partir du principe que nous aurons 52 nSemaines + 1 nJour.

52 = 4 * 13 : mettons donc en place 13 nMois de 4nSemaines chacun, soit 28 nJours.

De cette façon, le calendrier alors obtenu est très strict, et chaque nème nJour du mème nMois tombera toujours le xème même jour de la semaine.

Pour ce qui est des unités dans la journée, pourquoi ne pas en profiter pour découper la journée en 10 nHeures, et chaque nHeure en 100 nMinutes ? Je n'ai pas encore fais les calculs de conversion, car j'aurai besoin pour ça de connaître le nombre de secondes très précis qu'il y a dans une année, année au sens astronomique du terme. N'oublions pas que 1 seconde = 1 nSeconde.

Il est à noté que ce changement d'échelle pour les heures et minutes impliquera un léger problème pour la conversion des dates grégoriennes vers une date de ce nouveau calendrier. En effet, les minutes aux alentours de minuit seront parfois le jour équivalent précédent, parfois pas. Et cela dépendra de l'écart avec le soleil, et donc des années bissextiles... Encore une fois, lorsque des calculs plus poussés seront effectués, les réponses seront claires et simples.

Reste encore à définir la correspondance de ce calendrier et sa mise en place. Comme le 21 décembre 2012 semblre être une date charnière pour tout un tas de raison, je propose d'utiliser cette date comme étant le 1er jour de ce nouveau calendrier. Ce qui impliquera que le 1er nJour de l'année sera aussi le début de l'hiver, au plus scientifiquement parlant, le jour du solstice d'hiver, date à partir de laquelle les jours commencent à rallonger (dans l'hémisphère nord).

J'ai mis en place une page web représentant ce calendrier, avec la correspondance des dates.

Cela implique d'autres choses assez sympathique pour les autres saisons :

  • Le printemps serait le 7ème nJour du 4ème nMois, qui serait alors l'équivalent du dimanche.
  • L'été serait le 14ème nJour du 7ème nMois, toujours un dimanche.
  • L'automne serait le 21ème nJour du 10ème nMois, encore une fois un dimanche.

Et si on regarde sur le calendrier, ces dates sont alignés dans l'oblique du calendrier.

Voilà ce qu'il en est pour la partie théorique de ce calendrier. Vous aurez sûrement pensez que je suis complètement fou d'avoir penser ne serait-ce qu'un instant à une telle folie, mais pourquoi pas ?

Après tout, la plupart des inventeurs étaient pris pour des fous à leur époques car il ne pensait pas avec le même paradigme que leurs semblables.

Et vous, que pensez-vous de cette idée ?

RoadTrip Report 4/4 : 05/06 - Bryce Canyon, Zion, and Las Vegas

As my brother came with a friend for a 2 weeks road trip around California and neighborhood states, I traveled with them for 4 days. 4 days to run on sunny roads, between deserts and mountains. 4 days, 4 posts.

Last day on the roads for me. Wake up smoothly at 8am to go soflty in Bryce Canyon Park and stop at many points of view. We're going to the last points, the higher which is far away. I didn't think the park was too big. In the road we're seeing many Mules deer. Once we're at the last point, we're eat breakfast with a gorgeous view. It's a little bit cold; we're at almost 8'000 feet. Then we're going back in the way by stopping in other points. We saw again some squirrels. There isn't too much to tell here. It's a beautiful park and all the points of view are different; each one offers a new view and a new particularity.

Mule Deer in Bryce Canyon Breakfast at Bryce Canyon View at Bryce Canyon Squirrel in Bryce Canyon Squirrel in Bryce Canyon Hoodoo in Bryce Canyon Hoodoo in Bryce Canyon View at Bryce Canyon View at Bryce Canyon View at Bryce Canyon






What a view! The vivid orange colors or gold form the Hoodoos -the verticals rocks- and the sun which enlightens everything in a magnificent contrast: orange from hoodoos, gold from rocks, green from trees, blue from the sky. I loved it. Amazed. I shoot many and many photos. As we planned last day, we're goind to the Sunset point to hike for 1 hour inside the canyon to see it in another way.

The way we're using is very abrupt, and go down in hair-pin curve in the gorge which going more and more narrow. The more we're goind down, the cooler. It's pleasant. It's weird to see some bigs trees are here in the middle of the gorge. Then we're leaving the gorge to arrive in larger place above trees and hoodos. The way going down slowly now. Once we're arrive at the bottom, we're using an other way to come back which is less abrupt. Here are the photos from the "l'expédition" inside the canyon:

Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon Inside Bryce Canyon View at Bryce Canyon View at Bryce Canyon View at Bryce Canyon View at Bryce Canyon






It's almost 10 when we're finishing the walk. It's time for us to say goodbye to Bryce Canyon to reach Zion Park. After 2 hours of road, we're in. One more time it's a decor change. Here the greenery and coolness of the park are soothing. The park is a large gorge with a small river in its middle with a huge biodiversity around. the place is nice. Sadly We can't spent more than 2 hours here.

We arrived in the park by the top which is less green and cute. The more we're going down, the more desert atmosphere disappears to let place to the dense forest. As the interior of the park is closed for personal vehicles, some free buses could drive you from bottom to top to stop at points where you can start to walk or enjoy the canyon. We walked only 10 minutes to reach a small cascade. Then we took again the bus to go to the last point and eat our sandwiches aside the river around 1pm. On the big cliff which partitions the park some sportsman climbs in the middle of huge part very smooth. After some walking minutes we have to go back to be sure I can get my plain in time in Las Vegas this evening.

Zion Park Entrance Top of Zion Park Top of Zion Park Zion Park Zion Park Waterfall at Zion Park Walk in Zion Park River in Zion Park Climbers in Zion Park Zion Park Zion Park River in Zion Park






We're back in the parking. I prepare quickly my bag for the plane. Let's go to Las Vegas to take my flight.

I saw only the building and some casino exterior eccentricity in Las Vegas on the Strip. I didn't have time to gamble -maybe it's better. Las Vegas is really lost in the middle of the desert; there is absolutely nothing around the city. Photos took from the car:

At Las Vegas Trump Tower in Las Vegas Palazzo in Las Vegas Bellagio in Las Vegas Eiffel Tower in Las Vegas Arc de Triomphe in Las Vegas Paris in Las Vegas Casino in Las Vegas At Las Vegas At Las Vegas Statue of the Liberty in Las Vegas Pyramid in Las Vegas






After this short pass aside the casino, time for me to go to the airport. My SouthWest flight take off in time and I'm back at Los Angeles. Damien and François continue the road trip to San Francisco by stopping in more other parks. They will come back in LA one week later.

I keep many memories in my head. I'll probably make a new roadtrip in July to go to the park I couldn't go this time. and maybe come back in San Francisco without rain...

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